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Raph
3 vues • Il y a 1 an
Le 18 octobre 2018. Dans les champs de canne à sucre.
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Raph
2 vues • Il y a 12 mois
Le 30 octobre 2018. La Citerne. Ce volcan endormi porte bien son nom. En effet, un étang s’est formé dans son cratère au fil des année.
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Raph
2 vues • Il y a 12 mois
Le 11 novembre 2018. Ma première expédition jusqu’à la 3ème chute du Carbet s’étant heurtée à une météo rendant la traversée de la rivière potentiellement dangereuse, j’y revenais pour tenter de photographier cette impressionnante cascade. Si la photo ne rend pas hommage à son échelle, elle mesure pourtant 20 mètres de haut ! Ce lieu regorge de vie. La marche pour s’y rendre dure une petite heure au milieu d’une forêt luxuriante. Quand au détour d’un virage, le grondement de l’eau se fait entendre. Alors on scrute au travers des branches le moment où enfin, la spectaculaire chute d’eau se dévoilera enfin. Et puis finalement, elle est là. Imposante. Assourdissante. Revigorante. Ce décors me rappelle mon enfance. Non pas que je vivais dans un tel environnement. Mais durant des heures à jouer à The Legend of Zelda : A Link To The Past, jeu vidéo pourtant en 2D, je laissais alors mon imagination vagabonder et construire un monde fort semblable à celui-ci !
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Raph
2 vues • Il y a 11 mois
Le 18 novembre 2018. Dans la forêt Guadeloupéenne, je renouais avec la nature, en tentant de faire la paix avec la mienne.
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Raph
1 vues • Il y a 11 mois
Le 23 décembre 2018. J’écrivais. Il paraît que le 31 décembre est un jour de rétrospective. L’occasion de faire le point. Exercice très difficile pour moi qui, exposant mon quotidien sur les réseaux sociaux, tombe comme tout le monde dans un optimisme hypocrite. « La vie est belle sous le soleil des Caraïbes. » Non. Je viens de vivre une des années les plus éprouvantes de mon existence. Peut être la plus difficile. M’écroulant peu à peu sous le poids de tous mes échecs, avec très peu (aucune) de réussite pour m’aider à tenir encore debout. Sur Instagram on lit des textes qui font rêver à longueur de timeline. Nous serions maîtres de notre destin disent-ils. Mais non. Nous ne sommes maîtres de rien. Tout comme il est impossible de prévoir les mouvements de l’eau dans l’océan, il est impossible de prévoir ce que nous réserve la vie. Si aujourd’hui je suis en pleine noyade, peut être que demain un courant me fera remonter à la surface. Rien n’est prévisible et rien n’est sous contrôle. Entre remises en question et psychothérapie j’en arrive donc à cette conclusion : il n’y a rien que je puisse faire. Dans les abysses, à bout de forces d’essayer de retenir mon souffle, j’attends qu’un courant ascendant vienne à mon secours. Si j’ai de la chance. Allez. Bonne année.